• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

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06 juillet 2007

Commentaires

Chrisos

3 mois pour une résa pour deux?
Pour 5 personnes, c'est plus de 6 mois d'attente!
Mais ça a l'air d'en valoir la peine.
En journée, à la carte, c'est bien aussi.

Vincent

Que de bonheur à lire cette note, comme toujours sur ce ravissant "blog" (mais est ce encore un blog je me le demande, plutôt un art de vivre) ...

Et voici une suggestion de restaurant tout à fait adaptée pour "fêter" une belle occasion d'ici quelques mois.

A nous d'arriver à obtenir la fameuse réservation !

 Sommelier

Salut Thierry,


J'avais été parmi les nombreux fans de la Régalade.

A l'époque, en 2001, ce fut un régal ! Simplicité, respect de produits du terroir, et des cuissons, tout fut succulent, à un prix relativement doux.

Là, je ne sais si j'aurai la patience d'attendre, d'autant plus vu mon emploi du temps surchargé et glissant...;-)

Emmanuel D

Nadia

Une de mes adresses préférées.
J'aime beaucoup y aller pour déjeuner, surtout s'il y a quelques rayons de soleil...
Eh oui, je ne me nourris pas exclusivement de fraises Tagada;-)

Thierry Richard

Chrisos > Très juste, je ne l'ai pas mentionné mais la carte du déjeuner (moins sophistiquée et plus "bistrot") est plus qu'agréable et on peut y aller au débotté.

Vincent > Franchement, cela en vaut la peine. Pour la petite histoire, j'ai interviwé Yves Camdeborde pour un portrait et il me disait qu'il était horrifié lui même par les délais de réservation (mais il ne peut pas pousser les murs) et qu'il n'aimait pas cela car le risque pour le chef c'est de voir alors les attentes des clients devenir excessives (j'ai attendu 2 mois pour venir, alors cela doit être totalement exceptionnel, hors du commun, etc.) Et les chefs, même du niveau de Camdeborde, ce type de comportement, ça les stresse... Bonne soirée là-bas en tout cas.

Emmanuel > Rien n'a changé si ce n'est quelques euros de plus et un menu imposé le soir mais crois-moi, le jeu en vaut la chandelle. Un coup de fil, on raccroche, on n'y pense plus et quelques semaines plus tard, c'est le bonheur.

Nadia > Je te savais femme de (bon) goût... ;-)

envyolette

J'ai hâte de pouvoir y aller à mon tour et frissonner de plaisir...
Merci pour ce billet propice à la salivation (même si ce mot l'est moins !)

Pimousse

Comme il est joli ce texte! Et cette "mignonne" dont tu parles si peu mais avec quelle délicatesse!
C'est très agérable à lire et rafraichissant. Quant au resto, je comprends mieux ce que tu voulais dire tantôt dans d'autres correspondances.
Voilà un reportage très complet pour faire une présentation savamment documentée à mes parents!! Merci de m'aider à leur "vendre" cette idée.
A bientôt

Loulou

Ca fait une éternité que je veux y aller... Ravie de lire ta critique, ça me redonne l'envie de tenter une réservation !

Marguerite

La cuisine est excellente mais ça se mérite! (pour réserver, il faut beaucoup de patience). La terrasse n'est pas à recommander à midi, trop de monde, des bus qui passent sans arrêt...Une très bonne adresse sinon.

Thierry Richard

Envyolette > Bon appétit !

Pimousse > Tu as compris ce que je voulais dire par "il faut s'y prendre à l'avance" alors... ;-) Mais j'espère vraiment que vous pourrez vous y trouver une petite place.

Loulou > Vas-y, décroche le téléphone ! Une délicieuse soirée à la rentrée est au bout du fil...

Marguerite > Nous sommes d'accord. Cela se mérite. Mais entretemps, il y a plein d'autres bonnes adresses à visiter !

poutchi

magnifique récit, magnifique description qui me donne l'eau à la bouche !
je ne reviendrai que sur deux choses, la gelée de coings que j'adore, et le dessert qui - trop simple et pas assez recherché pour toi - aurait été bien suffisant pour moi. Le genre de dessert que je préfère après un bon repas comme celui que tu décris, bien à l'opposé de la glace au malabar pas du tout apprécié aux Jardins du Cygne (dont nous avons parlé dernièrement) !
bisous

balivernes

Mais d'où sort cette croyance qu'il est difficile de faire entrer son enfant à l'Ecole Alsacienne ???

Vu que ce petit bout de phrase m'a fait sortir de ma cachette de lectrice discrète, j'en profite pour dire tout le bien que je pense de ce blog. Délicieuses chroniques qui me permettent de faire de très jolies découvertes culinaires (et oenologique)...

Thierry Richard

Balivernes > Disons qu'il s'agissait en la circonstance d'une formule "littéraire"... ;-) Merci pour le compliment en tout cas, c'est adorable.

Rosemary

Est-ce qu'il y a un problème "dessert" ?
C'est effectivement le seul bémol du diner ... Le service est parfait. C'est très bon. Pourtant, je cherche encore une saveur inoubliable, présente dans mon assiette ... Impossible de m'en souvenir.

pépita

Puisque vous êtes enthousiaste, je vous propose d'aller y déjeuner : après une heure ou une heure et demi d'attente à l'extérieur, vous serez placé là où c'est possible. Avec un peu de malchance (ce qui a été mon cas) à gauche de la porte d'entrée, dans des courants d'air incessants et un chauffage démentiel juste en face de votre visage.
Rentabilité oblige, les tables sont serrées au maximum les unes contre les autres : les serveurs(ses) se cognent dans le dossier de votre chaise en permanence. Certains s'excusent de l'exiguïté des lieux et des désagréments que vous en retirez, d'autres pas.
Chef en cuisine ? Ou ça ? En cuisine, 2 ou 3 pakistanais, mais de chef, point. En salle, peut-être alors ? Non, on l'aurait repéré.
Salle bruyantissime, impossible de parler tranquillement.
Rentabilité oblige, encore : tables carrées minuscules, mais grandes assiettes carrées. Résultat, mon invité et moi-même faisons déborder notre assiette de pratiquement la moitié au-dessus de nos genoux (avec les coups de hanches des serveurs dans ma chaise, inutile de vous dire que je la tiens, mon assiette !!). Problème : attraper son verre : le pied est coincé entre le bord de l'assiette de mon vis-à-vis et le bord de la mienne. Pour boire, il faut tirer encore sur l'assiette. Si quelqu'un me bouscule à ce moment-là, ce sont mes dents et mes genoux qui trinqueront !
Solution : coordonner ses gestes à ceux de son vis-à-vis, c'est encore la manière la moins hasardeuse de s'en sortir.
Service : désespéré. "Je suis arrivé au début de la semaine, mais je pars vendredi, ici, c'est vraiment impossible. Les rapports entre les responsables et les serveurs sont odieux (...) Je comprends votre déception, je suis d'accord avec vous (...) C'est du flan, de la communication, le succès a été bien monté en sauce, mais derrière, c'est tout autre chose (...) Un jour ou l'autre les clients oseront enfin dire qu'ils ont été décus, c'est l'effet mode (...).... On n'en demandait pas tant, mais on est heureux de s'apercevoir qu'on n'est pas juste des aigris de passage !!)
cuisine : grasse, lourde, sans intérêt particulier. dans le genre bistrotier inventif, je connais beaucoup beaucoup beaucoup mieux - pour nettement moins cher !!
mais il se dit que les additions du restaurant servent à renflouer l'hôtel voisin, qui a du mal à rentabiliser.
Faites-moi plaisir, oubliez le menu gastronomique du samedi soir, et allez y faire un tour, anonymement (ou envoyez des amis si vous y êtes connu). Pour travailler depuis 15 ans dans l'univers de la restauration parisienne, je peux vous affirmer que ce restaurant, c'est une bulle médiatique (certes, le savon est de qualité, la bulle n'a pas encore éclaté !)

Thierry Richard

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http://blog.lesgrandsducs.com/

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