• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

Rechercher

Week-End

« L'art de la fugue | Accueil | Le Restaurant du Palais Royal »

20 juin 2008

Commentaires

Kaplan

Voilà qui a l'air superbe... Moi qui n'avais même pas encore essayé le Troquet alors que c'est à quatre rues de chez moi, je ne vais plus savoir par où commencer !

Sand

Ô mon Gentleman ! Mais comment fais-tu pour autant de grandeur, de splendeur, ces mots...Ô merveilles, merveilles du Monde !
Tant de merci sans mots que tu me...comment trouver le mot pour exprimer ce trop plein de poésie, de vérités si douces.
http://fr.youtube.com/watch?v=zKG7YpW-wxE&NR=1

Valerie Hoppenot

Vite, vite...

Sand

@Valérie : enfin quelqu'un qui dit quelque chose de concret, ouf! Si tous les gens du monde...pouvaient faire au lieu de DIRE,hum...!;)

http://fr.youtube.com/watch?v=J8Z549GKkeM

Thierry Richard

Kaplan > C'est assez différent, tout en restant dans le même esprit. Moi, je ferai "dej à la cantine" et "dîner au troquet" ! ;-)

Sand > Que répondre ? C'est trop, vraiment !

Valérie > Oui, exactement, dans un mois quand le Figaroscope, l'Express et A Nous Paris se seront emparé de l'adresse, elle sera bondée. Faut y aller vite !

Sand

.Yé témé.
http://fr.youtube.com/watch?v=GWrxs2RDNRU

Sand

Coucou mon Gentleman !
http://fr.youtube.com/watch?v=955y1fmm1lgfeature=related

Sand

Mince, ça a beuggé!

http://fr.youtube.com/watch?v=955y1fmm1lgfeature=related

Sand

Mince, ça a beuggé encore, bon, bref, c'est ainsi, ça marche pas...grrrr! à+ alors! bye!

Mr Lung

Mon expérience du dîner au Troquet date mais avait été plutôt négative (http://www.mrlung.com/?p=8) bien que ton article me donne envie de lui donner une nouvelle chance. En effet, j'y étais allé un soir de grande affluence et on sentait le débordement à tous les étages. J'espère qu'ils ont pris le temps d'améliorer le service !

Sand

Mr Lung, vous avez bien de la chance de voyager pour en comparer les lieux et le temps donc, très bel équilibre et balancier pour en faire tous les rattachements et rapports qualités que l'on peut espérer seulement en vivant les expèriences qu'un guide nous invite à voir, à savourer, en paix, je le conçois! Un service à la va vite s'en fait toujours ressentir lorsqu'on devient un restaurant très fréquenté, c'est clair! Alors oui, en effet, lorsque ce but, cet objectif de chiffres est donc atteint, mieux vaut employer de nouveaux moyens, annexes ou un service plus conséquent. Le truc, c'est de réaliser tout ça avant le débordement. Je pense qu'à ce sujet de goutte qui fait déborder le vase ou le verre de vin, il suffit d'être passé par là au moins une fois pour ne pas renouveler les mêmes erreurs : je suis donc en toute confiance pour leur prochaine étape, une deuxième chance en connaissance de causes, ça devrait le faire:)!
Bravo pour votre blog, il est très agréable, doux, sa bannière me plaît beaucoup! Zen!

spiritsan

Je suis fan du chef: merci pour l'info, je vais aller trainer vers le XIVe moi!

Chrisos

qq passages ont été cités (p.71) dans les Cuisines de la Critique Gastronomique...

C.C. M.

J'y suis allée hier soir. On ne m'y reverra plus. Très désagréable le message qu'on vous fait passer dès l'arrivée jusqu'au dessert "lâchez la monnaie et cassez-vous!". Impossible de réserver, ma tante est arrivée avant 20h dans une salle absolument vide. Pour s'entendre répondre, quand elle a voulu s'installer pour m'attendre "ha non! Si vous n'êtes pas au complet, vous ne pouvez pas vous asseoir!". Pour un malheureux pékin qui squatte pendant deux heures une table de 15 retardataires, je peux comprendre. Mais quand on annonce être deux... Heureusement, je suis arrivée très vite. Un conseil, si vous y allez et que vous êtes dans le même cas, prétendez que vous êtes seul(e). On vous mettra à une table de deux de toutes façons. A peine nos fesses posées qu'on vient nous demander si on a choisi. Les plats sont minute. Préparés à la demande, sans doute, et en pas plus d'une minute. Les couteaux n'ont pas eu le temps d'être débarrassés de leur sable. Piperade revisitée, ça veut dire qu'on ne prend pas la peine de faire cuire les oeufs (la sauce basquaise, excellente, est préparée à l'avance et balancée avec à peu près tout, pratique, comme la sauce des couteaux qui réapparaît sur les poissons plancha. Pourquoi se compliquer la vie à varier le menu?). Les plats arrivent à moitié cuits. On renvoie en cuisine, ça revient en deux secondes chrono, toujours aussi cru. Le dessert, c'était censé être des figues rôties avec une quenelle de chocolat blanc. Point de chocolat blanc, à la place, une mousse au citron histoire de remettre une couche d'acidité sur les figues pas mûres. Je le dit au serveur. Il s'en tape. Pourtant entre le chocolat blanc et le citron, il y a un monde. Mais je suis contente de ne pas avoir commandé une salade de fruits pour me retrouver avec une bavette à l'échalote. A peine la dernière bouchée avalée, on vous balance l'addition. Merci de raquer fissa et de laisser la place à d'autres pigeons. Sinon, les produits sont de qualité et frais mais la saveur manque (pas le temps, sans doute). La nourriture est à peine basque et rien ne rappelle cet art de vivre qu'on trouve même dans la plus modeste des sandwicheries au pays basque. Une honte, franchement.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Ma Photo

Alerte Email

  • La carte postale des Chroniques directement dans votre boîte aux lettres

  • Follow thierryrichard on Twitter

    Follow Me on Pinterest

Facebook

Crédits

  • Design © Claire Bissara : claire(a)bissara.com

Stats