• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

Rechercher

Week-End

« Hold your Horses ! 70 Million | Accueil | C'était mon mois d'Avril »

07 mai 2010

Commentaires

m-alizarine

Chroniques tristes d'un plaisir défunt. Accord avec ce ciel cendreux plombé de printemps en retrait d'un temps.
Et ces notes qui résonnent dans ma mémoire:
"Amour des feintes
Des faux-semblants/
Amour des feintes
Au présent
Et l'on s'étreinte
Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se maintenir longtemps
Le temps ne peut-il s'arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amour des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant..."

AdoréFloupette

À lire après "Drieu", le bouquin de Victoria Ocampo que les mêmes Éditons Bartillat ont fait paraître il y a deux ou trois ans.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Ma Photo

Alerte Email

  • La carte postale des Chroniques directement dans votre boîte aux lettres

  • Follow thierryrichard on Twitter

    Follow Me on Pinterest

Facebook

Crédits

  • Design © Claire Bissara : claire(a)bissara.com

Stats