• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

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26 juillet 2007

Commentaires

Chrisos

Hum, on dirait que les journalistes n'ont aucun secret pour toi!
enfin, chacun sa spécialité, moi je reconnais des Libanais, toi des journalistes...

En tout cas, il faudra que j'y retourne bientôt!
Une petite astuce : ils sont souvent déjà pleins quand vous appelez, mais si vous êtes prêts à commencer de "bonne heure" 20h-20h30, il y a souvent de la place.

emilie en voyage

Ouah!! Moi qui visite le blog par hasard, j'en salive comme jamais à la lecture de votre blog...cela donne très envie, je fais pâle figure avec mes idées resto en Italie et en Espagne, je n'ai pas cette fougue et ce souci du détail: bravo à vous de m'avoir donné si faim, moi qui n'aime pas spécialement la viande rouge.
A bientôt

MamSand

Ce texte me parle de chacun de ses mots comme un "fait exprés" et là, donc, ça chavire de poésie, de vibrations incroyables.C'est sublime, vraiment félicitations, c'est magnifique de rassembler aussi joliemment les sens dans l'art de l'écriture-nourriture.Bravo et merci pour l'évasion délirante que je viens de vivre..

Gourmande

J'aime beaucoup ce restaurant qui côtoie Le temps au temps autre excellent restaurant de la rue Paul Bert. La viande est délicieuse, les vins aussi. Il est vrai que la viande argentine est goûteuse, tendre et belle, mais je reste attachée cependant au fondant de la Fleur d'Aubrac, impossible à trouver à Paris, c'est un peu snob, mais permet d'aller sur l'Aubrac. Bref cet Unico
nous l'avons vu se transformer d'une boucherie 70' abandonnée en restaurant branché et c'est tant mieux.

Frogita

Une découpe argentine..
Je ne me serais jamais douté de ça... je ne suis encore qu'un insignifiant petit scarabée de l'art culinaire

roberta

ha !!!! et sinon il tarrive d'inviter une fille?? genre moi??

Chroniques du Plaisir

Chrisos > On fait ce qu'on peut ! ;-)

Emilie > Bienvenue ici et ravi de vous avoir donné envie...

MamSand > C'est trop. Mais c'es bon... Merci ! ;-)

Gourmande > J'abonde. La viande de l'Aubrac, c'est formidable. Pour tout dire je reviens de quelques jours en Aveyron où j'en ai fait mon miel (mais je vous un dirai plus dans un billet détaillé à la renrée).

Frogita > Et oui, on apprend à tout âge ! D'ailleurs, j'en apprends aussi pas mal sur ton blog... ;-)

Roberta > Oui, c'est vrai, je sors rarement seul...

Emma

Mhhhh, j'espère que c'est vraiment, bon, parce que les trois pauvres frites (non, pardon les cinq je viens de compter...) servies en garniture, ca fait limite radin ;-)

Et malheureusment quand j'ai des envies de vraie bonne viande, c'est pas un micr pavé, même bien épais qui pourra assouvir mon envie. Et franchement la viande rouge + frites, ce n'est pa le genre de nourriture/cuisine qui, à mon avis, supporte la micro-portion. C'est charnel, tripal et sensuel, et pour moi ce registre s'accompagne forcément d'une certaine abondance. Riend epire que de rester sur une faime de viande rouge ;-)

Sinon j'apprécie beaucoup voter blog.

Thierry Richard

Emma > La photo est trompeuse et l'assiette géante : croyez-moi tout cela pèse son poids, mais sans peser sur l'estomac, ce qui est un plus indéniable... ;-)

Nico

En passant devant (pour aller au Paul Bert), je m'etais dit "tiens"... maintenant ca devient imperatif. Et je suis assez d'accord avec votre approche "Unico" - a moins de gouter des charcuteries exceptionnelles (mais a priori pas argentines), c'est le genre d'endroit ou on risque d'etre decu par les a-cotes. Et de vraiment trop manger.

Je n'ai jamais goute la viande de l'Aubrac mais j'ai un vrai faible pour le bife argentin goute a Madrid qui est un peu moins tendre que le filet sud-africain (j'habite dans ce drole de pays) mais nettement plus goutu. Ceci dit, il parait que les betes boer sont bourrees d'hormones, j'espere que ce n'est pas le cas en Argentine aussi.

tres bon blog, tout le monde le dit mais c'est vrai, tres bien ecrit, choix toujours interessants, notamment la Gymnopédie de Satie. nice one buddy!
(desole pour les accents manquants, clavier rosbif mais pas tendre)

tilly

Je n'avais pas besoin de cette chronique allechante pour attendre avec de plus en plus d'impatience le retour de mon argentin a moi :
http://clement.richard.over-blog.com/
Apres 4 mois d'absence, un hiver rigoureusement historique a BsAs, et avant de le voir repartir pour une annee Erasmus a Valencia, la maman et le fiston vont se faire une joyeuse baffree a l'Unico. On invitera peut-etre le papa et la soeur...
Merci Thierry.

Vincent

Ah tiens ! Failli y aller il y a peu ...

Voilà qui me conforte dans l'idée que c'était un bon choix :)

Silvana

J'ai bien retrouvé, à travers votre description, le goût de la viande que je redécouvre chaque fois que je rentre en Argentine...
Mais, au vu de l'image qui accompagne votre billet, si le goût semble y être, le morceau de viande, n'a rien d'argentin...
C'est dommage, car la taille du steak est aussi importante que le persillé de la chair.
Saviez-vous qu'en Argentine, lorsqu'on prépare l'"asado" on prévoit en général 1kg de viande par personne ?
L'expérience carnivore ne souffre pas la frugalité, surtout si c'est pour terminer sur du "dulce de leche"...

JS

Bonjour,

Bien envie de gouter cette cuisine argentine.
Question 100% Pratique : y a t il la place pour venir avec une poussette ??

JS

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