Elles arpentent les larges avenues parisiennes de leurs jambes interminables, toujours habillées du dernier-cri. Elles roulent dans de toutes petites voitures de sport, se prélassent dans les chambres d’hôtel et au bord des piscines, jouent de nos nerfs avec un charme déconcertant. Ce sont les Parisiennes, telles que Kiraz nous les donne à voir depuis 1953.