Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...
Cet homme sent bon! Il est aussi attirant qu'il est inaccessible, le l'imagine bien près d'une cheminée tournant légèrement la tête et délivrant toute son aura, wahou, il est superbe, il faut que j'avoue adorer la barbe, ça me fait craquer la barbe chez un homme. Bueno!
Bonjour! La nuit dernière, comme d'autres aussi, je m'éveille...Très souvent, il me faut prendre une feuille de dessin ou du papier pour vider mes songes, pour me rendormir...La nuit dernière, j'ai bien mis trois heures pour retrouver le sommeil, je n'ai rien vidé, je voulais vous confier car c'est le choix de votre photo qui m'a cuisiné la nuit dernière, vous savez, ce marchand de sable, ce chef cuisinier de nos pensées et réceptions du jour des ingédients des vies. C'est comme une alchimie des sens, la nuit, la marmitte mijote et puis alimente l'imaginaire, le mien en tout cas. Il faut en principe trois sens pour concocter un bon songe, comme une pyramide. Ici donc, l'écoute du nom "ro-main","du-ris" puis la vue de l'image où l'on pourrait penser ici aux cheveux d'un chef d'orchestre tenant donc en ses mains "main"des baguettes"riz" et puis le sens de l'odorat, c'est très étrange d'ailleurs de sentir une image, mais voilà, c'est dans la nuit que lorsque seulement ces trois sens sont entrer jusqu'à l'estomac, que la nuit, ils digèrent l'alchimie, comme un bébé qui fait un "ro"par les mains, le passeur rend l'âme. Non pas le passeur de la Terre vers le ciel lorsque nous sommes morts et qu'il faille songer trois jours, mais le passeur du Ciel vers la Terre, de ses baguettes ,comme un marchand de sable, il lance de la poussière d'étoiles, comme ça, sur un petit grain de riz, comme une dent de lait, il a fait un ro par ses mains, un Italien de Rome qui chuchotait que tous les chemeins y menaient par de là la sa poussière, et qu'il portait bonheur comme lorsqu'on jette du riz d'asie, car il s'appelait Duris et Romain aussi, ce chef d'orchestre...
Voilà, c'était des propos incohérents comme ceux des rêves que nous faisons la nuit, je voulais ainsi vous révéler comment fonctionnaient mes nuits pas toujours aussi jolies, merci.
Cet homme sent bon! Il est aussi attirant qu'il est inaccessible, le l'imagine bien près d'une cheminée tournant légèrement la tête et délivrant toute son aura, wahou, il est superbe, il faut que j'avoue adorer la barbe, ça me fait craquer la barbe chez un homme. Bueno!
Rédigé par : Sand | 15 février 2008 à 14:21
Fully agreed! Bonne après-midi
Rédigé par : Flo Bretzel | 15 février 2008 à 15:13
Aaaaahhhhh.... Soupir de satisfaction.
Rédigé par : Oanèse | 15 février 2008 à 17:05
ah , je dis oui ...et retrouvons ce beau garçon mercredi dans Paris ...film sublime ...
Rédigé par : emilie | 15 février 2008 à 20:41
Bonjour! La nuit dernière, comme d'autres aussi, je m'éveille...Très souvent, il me faut prendre une feuille de dessin ou du papier pour vider mes songes, pour me rendormir...La nuit dernière, j'ai bien mis trois heures pour retrouver le sommeil, je n'ai rien vidé, je voulais vous confier car c'est le choix de votre photo qui m'a cuisiné la nuit dernière, vous savez, ce marchand de sable, ce chef cuisinier de nos pensées et réceptions du jour des ingédients des vies. C'est comme une alchimie des sens, la nuit, la marmitte mijote et puis alimente l'imaginaire, le mien en tout cas. Il faut en principe trois sens pour concocter un bon songe, comme une pyramide. Ici donc, l'écoute du nom "ro-main","du-ris" puis la vue de l'image où l'on pourrait penser ici aux cheveux d'un chef d'orchestre tenant donc en ses mains "main"des baguettes"riz" et puis le sens de l'odorat, c'est très étrange d'ailleurs de sentir une image, mais voilà, c'est dans la nuit que lorsque seulement ces trois sens sont entrer jusqu'à l'estomac, que la nuit, ils digèrent l'alchimie, comme un bébé qui fait un "ro"par les mains, le passeur rend l'âme. Non pas le passeur de la Terre vers le ciel lorsque nous sommes morts et qu'il faille songer trois jours, mais le passeur du Ciel vers la Terre, de ses baguettes ,comme un marchand de sable, il lance de la poussière d'étoiles, comme ça, sur un petit grain de riz, comme une dent de lait, il a fait un ro par ses mains, un Italien de Rome qui chuchotait que tous les chemeins y menaient par de là la sa poussière, et qu'il portait bonheur comme lorsqu'on jette du riz d'asie, car il s'appelait Duris et Romain aussi, ce chef d'orchestre...
Voilà, c'était des propos incohérents comme ceux des rêves que nous faisons la nuit, je voulais ainsi vous révéler comment fonctionnaient mes nuits pas toujours aussi jolies, merci.
Rédigé par : Sand | 16 février 2008 à 11:49
J'avais oublié de donner le décor :
http://www.cinetroc.com/images_dvd/2/003487_08690_2.jpg
Rédigé par : Sand | 16 février 2008 à 12:13
Blog tout en finesse et tout en papilles...j'ADORE, je reviendrais!
Rédigé par : tendergirl | 17 février 2008 à 07:40