• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

Rechercher

Week-End

« Dix restaurants d'hôtel pour la Saint-Valentin | Accueil | Elégant de Février : Romain Duris »

14 février 2008

Commentaires

Claire

Bon, c'est pas encore cette fois ci que je m'abstiendrai de mettre mon grain de sel...
Ces rendez vous culinaires me font penser à la potion magique d'Asterix (Quelle culture, n'est ce pas!)
On goûte à l'incroyable, on écoute des hommes, des femmes passionnés, au vocabulaire d'une richesse et d'une sensualité divine, qui respirent la générosité et l'envie de partager...
Puis on rentre chez soi, gonflés à bloc.
Vivement Mougins

Kaplan

J'aurais aimé assister à ce festival. En tout cas votre compte rendu donne envie !
J'en retiendrai personnellement l'adresse à Irun que j'essaierai volontiers un de ces jours, ma maison familiale se situant non loin de la frontière espagnole, et Pierre Gagnaire, encore et toujours, un sacré bonhomme.

emilie

ah ce pur bonheur ! comme j'aurais aimé ^tre là ...!

Monica

Métaphore d'une éloquence rare, en effet.
Et je regrette en lisant ces lignes de ne m’y être point rendue (!)

stephane

Qui de Passedat, Denaux, Piège? J'aurais bien aimé avoir ton avis sur ces 3 chefs qui devraient faire parler d'eux dans peu de temps...

Quand est il du Sirop de gland trufier, aiguilles de pins, ail des ours du vercors, capucine tubereuse....recette de Cedric Denaux, un cuisinier qui trouve sa source dans les plantes et qui semble maintenant se tourner vers le japon

J'aurais également aimé que tu nous parles de Jf Piege et de son interpretation de la cuisine.

Mais également de Passedat futur 3 macarons qui avait décidé de travailler le homard breton au gingembre clarifié et mauve abyssale...

Enfin on ne peut pas tout faire ;-)

Chrisos

La Gazetta, j'avais bien aimé le soir, mais à midi, on m'a dit que c'était un peu bof!

et l'Astrance, il faudrait que je sois plus persévérant au téléphone pour y décrocher une table...

ce que je retiens de ce festival via tes croquis en lettre, c'est une grande et belle diversité, des expériences plaisantes, tant mieux!

Thierry Richard

En complément, pour mon ami Stéphane qui n'en a jamais assez > Le parti-pris de ce papier était de faire partager mes coups de coeur, pas de faire une revue exhaustive des participants. Pour tout te dire Marx m'a terriblement déçu, il semble enfermé dans son personnage et tourne à vide dans son nuage d'azote, Piège nous a donné du moi-je une heure durant, avec une démonstration de Plateau Télé au final bien peu convaincante (que j'ai d'ailleurs pu goûter), Passedat tel qu'en lui-même, un peu rigide, rugueux, mais impressionnant de maîtrise pour une très belle réalisation à base de homard, et un Denaux très bavard mais techniquement pas du tout à la hauteur de la manifestation... A cela tu ajoutes une démo loupée des Bras père et fils sur le thème d'un dessert au pain, un Michalak qui rend les filles hystériques (elles hurlent pour ses religieuses comme pour une chanson de Patrick Bruel) et tu auras une vision presque exhaustive. Presque...

Tiuscha

Toujours un plaisir de lire ces compte rendus, en particulier ceux d'ici ! Je retiens des nomes et des adresses... Evidemment le danemark n'est pas prévu au programme... D'où l'intérêt du off.

Sand

Aucune conclusion, tout défile comme un carnaval, la cuisine est le masque le plus parfait de la vie, un Venise à Violon, à piano aussi, celui des innocents amoureux, les grands enfants de Mozart, grand Hommage à tous ces cuisiniers qui nous jouent la si belle harmonie de l'amour de la vie, et de l'amour tout court! Merci Thierry de nous en faire entendre les notes, sur le bout de nos lèvres, pour en émettre le désir, l'espoir un jour de saliver tout ce qu'on peut imaginer....Bonne Saint-Valentin !

Thaïs

ah l'Italie...

Laurent (GoT)

Je partage totalement sur noma (&Redzepi) et La Gazzetta de Nilsson.

Une visite en septembre dernier chez noma m'a littéralement retournée (voir mon post sur GoT)... une expérience unique.

Quant à La Gazzetta, c'est devenu un incontournable sur Paris pour un rapport qualité/prix imbattable.

Au plaisir,
Laurent

ps) énorme la phrase de Gagnaire, colle si bien au personnage et à sa cuisine...

Claire

Déjà en septembre, Denaux avait illustré la phrase:"tous les goûts sont dans la nature" avec des pétoncles sur un fumé d'aiguilles de pins, et une chose est sure, on ne doit pas avoir les mêmes.
Dans la même version , cuisine intellectualisée, Laurence Salomon m'avait beaucoup plus séduite.

Egmont Labadie

Bonjour Thierry,
ah mince, désolé de ne pas t'avoir croisé!

J'ai moi aussi écumé les démonstrations, entre deux dégustations à la Dive Bouteille...J'ai aimé d'autres chefs dont tu n'as pas parlé, mais je me contenterai de dire, pour ceux qui n'y étaient pas, qu'il y en avait pour tous les goûts et toutes les tendances culinaires.

Une sélection éclectique, ouverte, avec à la fois des techniciens, des innovateurs, des partisans de leur terroir, des atomisés...Moi j'ai vraiment adoré. Et je trouve que la présentation de Sébastien Demorand trouvait la bonne distance.

A bientôt, peut-être à la Gazzetta!

cuisinier en herbes

bonjour, je voudrais juste ajouter quelques mots et répondre a chrisos, la cuisine n'est heureusement pas que technique...il y a une place aussi dans ce festival et aussi dans un mouvement de ''jeune cuisine'' pour les mecs comme moi qui ont juste un univers et un rapport décalé avec le cuisine,mes mains sont directement branchées en permanence sur mes émotions, la nature drome provencale et les produits unique du jardin bio de cathy ma femme et donc pas de technique dans tout ca juste une maniére de vivre et un moyen ludique d'exprimer mes émotions...ceci doit il vraiment m'exclure de la scene du off a deauville ?
De plus pas un mot dans vos commentaires sur le café confidence d'andoni luis aduriz, un génie qui peut expliquer, un gars au top de la technique semble t'il mais en plus avec une immense humanité, et la culture suffisante pour expliquer pourquoi et comment...
Alors tant de poesie a coté des prout prout a l'azote je ne sais quoi, paraissent un peu plat...il y a autant de cuisinier que de sensibilité de cuisine, chacun la sienne, de la à pouvoir juger si mon intervention n'ai pas été a la hauteur...mais a la hauteur de quoi de qui , nous avons décliner ma femme et moi notre vérité, notre intimité le chemin de vie que nous voulons pour notre entreprise, rien de plus
a bientôt sur la terre
cédric denaux

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Ma Photo

Alerte Email

  • La carte postale des Chroniques directement dans votre boîte aux lettres

  • Follow thierryrichard on Twitter

    Follow Me on Pinterest

Facebook

Crédits

  • Design © Claire Bissara : claire(a)bissara.com

Stats