Un plaisir des yeux ?
Le musée du Louvre, à l’intérieur et à l’extérieur
Un plaisir que l’on partage
Le champagne
Un plaisir d’enfance
Plonger des rochers dans une mer chaude et transparente
Un plaisir odorant
L’odeur du pain grillé
Un plaisir égoïste
Sac, robe, chaussures, achetés très vite un jour de pluie
Un plaisir de l’oreille
Tous les mots de Serge Gainsbourg
Un plaisir charnel
Se laisser capturer par le soleil
Un plaisir inconnu
L’hypnose
Un plaisir du goût
Le café fort
Un plaisir anachronique
Relire ses lettres de jeunesse
Un plaisir qui ne coûte rien
Traverser Paris à pieds, d’une rive à l’autre
Un plaisir honteux
Le casino de Deauville
Un plaisir hors de prix
Une île en hiver
Un plaisir défendu
L’esprit de vengeance
Un plaisir surestimé
L’âge de la majorité
Un plaisir à venir
L’écriture d’un nouveau livre comme un nouveau rendez-vous amoureux
Mais qui est Nina Bouraoui ?
Née d’un père algérien et d’une mère française, écrivain et auteur de chansons, Prix du Livre Inter en 1991 pour « La voyeuse interdite » et Prix Renaudot 2005 pour « Mes mauvaises pensées », Nina Bouraoui vient de publier chez Stock « Appelez-moi par mon prénom », un roman sentimental qui interroge le tabou d’une passion amoureuse politiquement incorrecte, celle qui naît entre une romancière et l’un de ses jeunes lecteurs. Dans une langue d’un classicisme revendiqué, elle y décrit le lent cheminement amoureux qui conduit de l’intérêt distant à l’attirance, jusqu’à la passion la plus ardente.