• Avec près de 13 000 tables rien qu’à Paris, choisir un restaurant, c’est un peu la roulette russe de l’estomac ! Alors, laissez-vous cornaquer l’appétit, déjouez les pièges de l'assiette rabat-joie et des additions illégitimes, et suivez le guide...

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18 décembre 2007

Commentaires

poutchi

j'aurais été déçue également... la sauce coupée à l'eau, les morilles réhydratées...
mais dis moi, le pic St Loup à quel prix était il ? dans le restaurant dont je t'ai déjà parlé, il est à 23 euros.

Anne

Bof, on n'y viendra pas! De toutes façons, nou, à Paris on dine toujours chez notre ami Jean!

Chrisos

Oups, dommage!
Pour moi, Chez Julien c'est un peu comme l'Ami Louis, un piège à touristes aisés...
Que ce soit repris par les Costes m'incite encore plus à ne pas y aller.

Mlle E

Décidément les Costes je n'y mets plus les pieds.
Puisque Julien est devenu peu fréquentable, il te reste Guillaume ;)

Julie BBG

Moi qui comptais tenter cette adresse un jour prochain, c'est raté! Pas question qu'on me serve des morilles réhydratées pour 30 Euro le plat. Quand je pense que la presse en a fait tout un tintouin et qu'une connaissance l'a qualifiée de 'merveilleux' !!!

monica

j'ai passée devant, je me suis posé la question et me suis dit...na! en rigolant toute seule.

poutchi

tiens, qu'on parle de Costes, n'est ce pas cette famille qui a repris l'Hôtel Amour ? ;)

Sand

Ca ne me fait pas peur, ça me chagrine...D'après ce que tu dis, ils sont donc à côté de la plaque, crois tu qu'ils en ont vraiment conscience de l'effet que tu décris comme un gâchi et pire une arnaque? Leur as-tu signalé à eux pour les alerter du massacre? Surtout que si le décor va suivre...Les clients iront ailleurs mais eux...Parlez leur, non?

Philippe

Il est assez logique que les morilles soient réhydratées car ce champignon ne se récolte qu'entre le mois de mars et le mois de mai. Nous sommes en décembre, elle n'est donc proposée qu'en version sèche à réhydrater.

Thierry Richard

Poutchi > 30 €, ce qui est cher mais pas démesuré (une exception dans la carte des vins).

Anne > Il faut varier les plaisirs, même si l'Ami Jean est un très bon choix.

Chrisos > Le drame de l'histoire c'est que j'adore le charme de l'endroit !

Mlle E > Je lui transmettrai le message... ;-)

Julie BBG > Il ne faut pas croire tout ce que l'on lit (mais pourquoi je dis ça moi ?)

Monica > Bon réflexe !

Poutchi > Oui, mais à l'Hotel Amour on mange très convenablement.

Sand > Franchement, je ne pense pas que tout cela soit le fruit du hasard...

Philippe > Oui, c'est très juste ! C'est toujours cette sale manie de vouloir garder à la carte toute l'année des plats qui sont des plats de saison. A tout le moins elles auraient pu au moins être surgelées... ;-)

Sand

Il peut-être alors le hasard d'un fruit, une conséquence hasardeuse alors, mais, dans les deux cas le hasard occupe une part et tout hasard à un sens, ceux que je veux dire par là, c'est que je suis si curieuse de savoir l'envers de ce bel endroit critiqué donc, attrister ce décor de charme, de voir que ce qu'on mange rompt ce charme d'histoire ,et, que j'aime beaucoup les critiques essentiellement pour ça, pour aussi les films, les livres etc...avec un beau talent qui t'appartient, je me demandais si ton interressement pour leur réponse sensibiliserait ta critique ou si au contraire ,elle était sans appel.C'est vrai qu'il ne faut pas croire tout ce qu'on lit ( pourquoi j'écris ça moi:))mais on s'y attache malgré nous, es-ce le fruit du hasard ou un choix bien hasardeux?Je ne sais pas j'apprends, je tombe je me relève comme tout le monde et encore plus rapidement en entendant critiquer avec autant d'habileté, de politesse et de poésie, j'apprends à afiner la critique malgré son poids émotionnel, ce qui n'est pas une mince affaire lorsqu'on porte de gros sabots...et là, en relisant, je vais m'en tenir à une info pour ce charmant restaurant où l'assiette est décevante, et là, je ris car j'ai encore plus envie d'y aller:)))pour voir!

griotte

je rebondis sur les remarques à propos de costes ... nous sommes allés dîner chez Georges sur le toit de Beaubourg ; certes la vue est formidable surtout en cette période de fête de fin d'année mais quelle déception par rapport à ce que l'on a eu dans nos assiettes (un foie gras poelé baignant dans le gras sur des cèpes caoutchouteux insipides!) et le prix n'en parlons même pas !
décevant !
bons repas de fête gastronomiques à tous
une griotte épicurienne

Thomas Clément

Merci pour cette chronique ! J'ai souvent connu ce sentiment de déception alors qu'on est motivé, enthousiaste et qu'on a envie d'y croire jusqu'au bout, c'est dur.
Joyeuses Fêtes !
Thomas

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