C’est mon petit béguin du moment. Une nouvelle chaque mois, presque chaque semaine ces derniers temps. Toujours un peu la même, jamais vraiment pareille. Et toujours ce petit pincement au cœur lorsque j’en croise une entre deux avenues. Elles sont belles, jeunes, décoiffées, absentes, le regard ailleurs et les pensées lointaines. Elles semblent me dire qu’elles n’ont pas besoin de moi. Que leur monde est déjà fait et que leurs émois ont pris leur source bien loin de nous. Jamais elles ne nous regardent en face. Jamais elles ne nous provoquent. Ce serait trop facile. Elles se contentent d’être là. D’exhiber délicatement leur peau dorée, saturée de lumière, leurs cheveux dans le vent et leurs doigts fins ornés de bijoux légers et précieux. Comme elles.
Bon ben eheueueu, c'est pas pour dire mais Gentleman adoré, c'est Toi qu'on veut voir, on s'en foutre de ces demoiselles de Mouboutricbidule, montre-toi qu'on te fasse ton Noêl en Grand plaisir! Bisoux mon ange!
Réveillonne com il se doit de l'être, TOI.
MERCI.
Rédigé par : Sand | 22 décembre 2008 à 17:54
Tu n'as jamais failli à me faire plaisir, jamais tu ne m'as contrariée, jamais...Pour tout ça Merci.
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C'est Grand, vraiment grand d'arriver à me supporter ainsi, sincèrement je t'envoie le meilleur de mon coeur pour tes amours Monsieur Richard! HUM, ne jamais m'abandonner comme tu l'as fait c'est immense, grand immense! Joyeux Noël mon Gentleman !
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Rédigé par : Sand | 22 décembre 2008 à 18:18
Charmant, n'est-ce pas !
Rédigé par : Une Ville Un Poème | 23 décembre 2008 à 21:21