Impossible de ne pas penser, ne serait-ce qu’une demie seconde, que c’est à nous qu’elles font du gringue, ces aguicheuses d’abribus, ces dérobeuses de coups d’œil qui se disputent notre regard à chaque coin de boulevard.
Impossible dès lors de ne pas vivre aussi en douce quelques moments d’égarement dans ce monde affiché qu’on nous impose, chaque jour, avec tacite reconduction.